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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 09:08

Penser, écrire, et lire, sont trois modèles fondamentaux de la transmission des savoirs. Il en est d’autres. Mais ces trois-là nécessitent du temps et de la concentration, en quelque sorte, un retour en soi pour enrichir deux inconnus : celui que nous portons en nous-mêmes, et un autre que nous ne rencontrerons peut-être jamais. Il en va du devenir d’une société.


Alphonse Boudard, que j’ai eu l’occasion de rencontrer une fois en chair et en os, et tant de fois à travers ses ouvrages que je recommande largement, le disait et l’écrivait : en prison, ce qui est difficilement supportable, c’est l’ensemble des bruits de toute nature, les radios qui hurlent, les verrous qui claquent, les chasses d’eau, les cris et vociférations et toutes autres agressions sonores de la promiscuité. Autrement dit, le bombardement incessant qui gêne ou empêche la concentration, la réflexion élaborée, voire la méditation.


C’est la raison pour laquelle, ce même bombardement par des perturbations parasites, tel que produit à travers internet, n’est qu’un viol des consciences, une autre forme de prison en un endroit où une plus grande liberté est demandée.


 

 

Il est d’autant plus grave qu’il se surajoute à l’intense surcharge cérébrale que nous impose depuis des siècles la voie de la technique, valorisée et amplifiée en nos sociétés occidentales.

 

La fameuse plasticité cérébrale – l’adaptation de l’être humain à de nouvelles connaissances – est peut-être sans limites (?), mais certainement pas invulnérable. Le devoir de liberté qui doit commencer par celui de sa propre pensée, nécessite que celle-ci soit préparée, armée de force et de temps, indépendante des phénomènes de mode, autant que des dénigrements organisés.

 

C’est la raison pour laquelle la charte de Lettropolis existe.

 

C’est la raison pour laquelle nous accueillons des auteurs libres, et que leurs lecteurs, en les accompagnant, reprennent des chemins de liberté.

 

Autrement dit, pour terminer cette série : il est des moyens de se « recérébrer ». Vous en trouverez en fréquentant Lettropolis.

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 09:07

Il serait présomptueux de confondre une série d’articles, même documentés, et la force d’un essai. Mais il serait anormal, pour un blog comme celui de Lettropolis, de ne pas apporter sa pierre au débat lancé par Carr.

 

NOUS TRANSFORMONS EN NOUS TRANSFORMANT, ET VICE-VERSA

 

Un fait fondamental est que toute activité humaine, toute nouvelle technique modifie la pensée de l’homme. (Pour la clarté du débat, j’évacue artificiellement les modifications de la pensée engendrées par des phénomènes naturels, comme le tonnerre, la foudre, etc.) Ces modifications – cet apprentissage cognitif – sont inhérentes à notre condition d’être vivant, et spécifiquement humain. Osons plus, toute technique influence la personnalité tout entière, c’est-à-dire la triade des sentiments, de l’action, et de la connaissance. C’est en ce sens que Pierre Trinquet, l’un de nos auteurs, pose ainsi l’hypothèse de la relation activité de travail-langage : « ... s’il l’on réfléchit un peu, pourquoi Homo sapiens  a-t-il eu besoin de parler, c’est-à-dire de mieux s’exprimer et de se faire comprendre, non seulement avec des gestes et des mimiques, si ce n’est pour transmettre son savoir et savoir-faire ? Et plus son savoir devenait complexe et plus il avait besoin de mots et d’expressions nouvelles et précises, pour bien se faire comprendre. » (Bien-Être et Efficience au travail)

 

Et bien entendu, le langage comme relais inter-humain permet transmission et nouvelle création technique : la machine à inventer peut poursuivre ses cycles infinis... et engendrer de nouvelles questions fondées sur l’angoisse de la nouveauté, laquelle oblige à la perte de certains acquis anciens.

Sur la question de cette perte, il reste encore beaucoup à comprendre. Contentons-nous ici de l’admettre dans sa globalité. Combien de jeunes conducteurs savent encore faire démarrer une voiture à la manivelle ? Et combien de voitures possèdent encore une manivelle de démarrage ?

 

L’ÉCRITURE AU RISQUE DE L’ÉCRITURE

 

Les questions de nos grands ancêtres deviennent alors parfaitement admissibles, d’autant que nous devons nous les poser à notre tour.

 

Oui, la trace écrite peut nous faire devenir oublieux. D’ailleurs, de prétendus analphabètes hindous sont capables de réciter des milliers de vers de leurs grands poèmes.

 

Oui, la solitude de la lecture mal ruminée peut aboutir à l’absolue incompréhension de la pensée de l’auteur. Combien de délires et d’hérésies à partir des grands textes sacrés du monde ?

 

Oui, la diffusion artificielle de grands tirages de livres tue autant les écrivains de talent exclus de ce système que le goût de la découverte chez les lecteurs.

 

Oui, le simple fait d’entrer dans la plus grande bibliothèque du monde peut faire vaciller des esprits mal préparés.

 

Mais oui aussi, le refus de l’accès à cette bibliothèque peut stériliser des esprits qui auraient souhaité y découvrir de nouvelles voies.

 

MAIS LA LECTURE ?

 

Mais, une fois que l’on entre dans cette bibliothèque, en recherche de nouvelles connaissances, doit-on y supporter d’être assailli sans cesse par la cohue des marchands du temple ? Doit-on accepter les papiers gras, les vociférations, les invitations fallacieuses, les provocations lubriques ?

 

Pour moi, la réponse est absolument négative. Il en va du plus grand défi qui soit au monde, celui de la liberté des consciences.

 

C’est la raison pour laquelle, ce blog associé à Lettropolis, refuse toute publicité invasive sur ses pages.

 

Nous respectons nos lecteurs, nous respectons nos auteurs, et nous voulons que ce véritable respect soit partagé. 

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16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 07:25

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Je prends connaissance, par un ami, de la traduction française d’un article de Nicolas Carr paru dans la revue The Atlantic, de juin 2008. Cette version date de décembre 2009, et ces renseignements préparatoires, apparemment superflus, nous permettent d’entrer de plain-pied dans le débat ouvert par Carr, qui expose ses craintes d’être – osons le mot – décérébré par internet.

 

Si ma synthèse semble trop rapide, je cite quelques-unes de ses phrases : « Ces dernières années, j’ai eu la désagréable impression que quelqu’un, ou quelque chose, bricolait mon cerveau, en reconnectait les circuits neuronaux, reprogrammait ma mémoire. Mon esprit ne disparaît pas, je n’irai pas jusque là, mais il est en train de changer. »

 

Ces lignes peuvent se lire, à volonté, soit comme le début d’une nouvelle de science-fiction, soit comme un discours appréciable par un psychiatre. Grande angoisse, comme le pose Carr soi-même ? Ou diagnostic plus grave, de la famille de la psychose ?

 

Sur le fond, l’article est chapeauté et finalisé par les scènes de 2001, odyssée de l’espace, où l’ordinateur HAL, pour avoir tenté de prendre le contrôle de l'engin spatial, est débranché par le dernier astronaute. Entre les deux, Carr évoque diverses étapes de la connaissance humaine, depuis l’usage de l’écriture, jusqu’aux discours ultra-scientistes de Sergey Brin et Larry Page, les inventeurs de Google. Ces deux jeunes gens – un peu de patience, futures vieilles barbes – posent en principe cette belle déclaration : « Il est certain que si vous aviez toutes les informations du monde directement fixées à votre cerveau ou une intelligence artificielle qui serait plus intelligente que votre cerveau, vous vous en porteriez mieux. »

 

En quelques lignes, assorties de quelques belles images archi-connues, Carr fait ressurgir les craintes éternelles de l’homme devant toute nouvelle technique, craintes contre lesquelles ni l’intelligence ni la culture ne peuvent prémunir les personnes qui en souffrent.

 

Dans le cas particulier, en effet, ni la culture de l’auteur ni son raisonnement, ni même la validité de son témoignage concernant sa progressive perte de concentration ne peuvent être mis en doute. L’article paraît donc convainquant.

 

Mais quelque chose cloche. La réponse, comme toujours, est devant nous. Il suffit de nous forcer à dessiller nos propres yeux.

 

 

QUI SONT LES ACTEURS ?

 

 

En premier lieu, son raisonnement intriquant internet et Google – ce qui peut paraître anodin à première vue – fausse totalement l’ensemble. En effet, si internet tend à devenir la grande bibliothèque dont ont rêvé les scientifiques et lettrés de tous les âges, il ne faut ni oublier, ni confondre, les autres acteurs, sans lesquels une bibliothèque ne peut pas vivre : les archivistes, bibliothécaires, et autres employés de service. Ceux-là sont assimilables à la fonction « moteur de recherche » dont Google est l’exemple cité dans cet article. Remarquons au passage la publicité « en creux » faite à Google, aux dépens des autres moteurs de recherche. Mais cela est une autre histoire.

 

Pour étayer le raisonnement, imaginons-nous dans plus grande bibliothèque du monde, sans guide, sans repères, sans moteur de recherche. Que pourrions-nous faire, pour peu que nous souhaitions étudier un sujet précis ? Rien, sinon compter sur la chance, chercher la fameuse aiguille dans la botte de foin, sans le moindre aimant, sans lunettes, et dans le noir.

 

Mais, à l’opposé, la question est de savoir si le bibliothécaire est devenu fou, hyperactif, comme l’apprenti sorcier du célèbre conte, traité avec quelle maestria par les images de Walt Disney et la musique de Paul Dukas, s’il nous bombarde de livres, de documents jusqu’à nous y noyer... pour notre bonheur de chercheur, bien entendu. Cette remarque nous amène vers toutes les pensées dictatoriales qui se parent du bonheur imposé. Les exemples ne manquent pas.

 

En ce sens l’article de Carr semble correspondre à la réalité de Google, sauf... sauf... qu’il néglige une quantité d’autres acteurs : les rats.

 

 

LES RATS DE BIBLIOTHÈQUE

 

 

Ah oui ! Les fameux rats de bibliothèque direz-vous ! Mais n’est-ce pas le surnom de ces obstinés, de lecteurs impénitents ? Ne venez-vous point d’en parler ? Vous répéteriez-vous ?

 

Que nenni, cher lecteur de ce blog. Les rats d’internet, de Google et de combien de sites dits gratuits, ce sont les passe-murailles cliquetants, les envahisseurs explosifs, les annonces de loteries fallacieuses, les kidnappeurs de cervelles, les incrustations obligatoires d’avant les vidéos, les masques d’écrans, et toutes autres inventions par lesquelles le Big Brother de la pub vole votre temps, viole votre conscience, barbouille vos neurones de sa bouillie vomitive, vous inonde de propositions galantes, et reprend vos traces de pub en pub pour peu que vous ayez cherché un renseignement sur le moindre objet d’intérêt marchand.

 

S’il y a un danger de décervelage sur internet, ce n’est pas internet en soi, ni Google, mais le viol de l’image par des pirates apparemment légaux. Pour mieux se rendre compte de ce qui vous attend réellement lorsque vous passez un contrat avec un fournisseur d’accès à Internet, pour explorer la grande bibliothèque, essayez de sortir du cadre. Imaginez que vous achetiez une voiture pour découvrir le monde, et que tous les kilomètres, celle-ci hoquète en vous vantant les mérites des pneus untel, du bitume duschmoll, que son klaxon lance spontanément dix mesures de la dernière chanson à la mode, que l’allumage des veilleuses projette sur tous les murs un message pour vendeurs de recettes amaigrissantes et autres fadaises.

 

Qui le supporterait ?

 

Qui ne retournerait chez le vendeur pour lui rendre sa casserole ?

 

La suite, prochainement sur ce blog, ainsi que sur celui de Lettropolis.

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9 novembre 2011 3 09 /11 /novembre /2011 12:51

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Lettropolis publie aujourd'hui son quarantième titre :

 

PAR LA FACE NORD, de Georges CLÉMENT

 

 

Ce recueil de poésie est remarquable, vrai et puissant.

 

Je m'en tiens ici à cette annonce car une présentation plus complète se trouve sur le blog du site de Lettropolis, en suivant ce lien.

 

Bonne lecture, toujours avec la qualité de choix littéraires, au coût le plus faible du marché.

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20 octobre 2011 4 20 /10 /octobre /2011 07:14

 

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Lettropolis publie la version enrichie du Grand Dictionnaire de cuisine d’Alexandre Dumas. Ce superbe texte qui parle cuisine, pense cuisine, montre cuisine, nous fait venir l’eau à la bouche, et plus encore, nous enrichit de l’intelligence de la cuisine et de l’art gastronomique.

 

Nous avons déjà dit qu’il s’agissait de l’œuvre fondamentale et posthume de ce Gargantua des lettres françaises. Nous avons déjà dit que sa version numérisée, traitée par nos soins pour être lue comme un livre, sur deux pages, était une somme non disponible par ailleurs dans ces conditions.

 

Aujourd’hui, nous complétons l’ouvrage par une table des matières de 33 pages outillée de liens aller et retour. De quoi s’agit-il ? De cliquer sur une entrée quelconque de la table des matières et d’atteindre directement le chapitre en question. Cela, c’est le lien « aller ». Mais mieux encore, en cliquant sur le titre du dit chapitre, de rejoindre le point de départ sur la table des matières. Cela c’est le lien « retour ».

 

Bientôt, ce nouvel outil équipera progressivement tous vos OLNIs® ! Finies les recherches fastidieuses et stériles. Fureter dans un ouvrage, passer d’un chapitre à un autre, si éloignés soient-ils, c’est redécouvrir le goût de la lecture sur les OLNIs®de Lettropolis.

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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 22:01

 

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Lettropolis est de nouveau sur le pied de guerre, et pas n’importe laquelle, puisqu’il s’agit de La Guerre des boutons, de Louis Pergaud, que nous éditons en OLNI®.

Il y a longtemps que nous avions en tête ce remarquable roman de Louis Pergaud, lui qui avait reçu le prix Goncourt en 1910 pour un autre grand titre : De Goupil à Margot.

D’ailleurs, c’était le souhait, d’un de nos auteurs, Michel Jacob, de participer à sa (re)découverte par les jeunes générations (et aussi les moins jeunes).

Mais il fallait attendre que le texte entre dans le domaine public. C’est chose faite ; c’est même chose filmée, et plutôt deux fois qu’une en cette année 2011.

Alors, Lettropolis accompagne les cinéastes pour cette évocation d’une campagne guerrière dans nos paisibles campagnes du dix-neuvième siècle.

Osez vous engager avec « la bande à Lebrac », à moins que vous ne penchiez pour l’Aztec des Gués et les Velrans. On pourrait parodier la formule célèbre : « Vous verrez du pays », mais surtout, vous ne serez pas déçus.

Alors, rendez-vous sur le site de Lettropolis.

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22 avril 2011 5 22 /04 /avril /2011 05:16

 

 

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Que d’efforts pour faire apparaître une lueur de réalité ! Ne parlons même pas de la Vérité ! Que de certitudes ineptes à éclairer ! Que d’ânes savants à débâter de leur pesanteur ! Que de patience plus que souvent mise à l’épreuve ! Que de freins rongés alors que s’accumulent les témoignages !

Si vous pensez travailler, avoir travaillé, devoir travailler et réfléchir sur cette partie « assez » importante – reconnaissons-le – d’une vie humaine, alors il vous faut impérativement lire Bien-être et Efficience au travail de Pierre Trinquet, que Lettropolis vient de publier.

 

Ce texte, avec toute la pensée ergologique qui s’en dégage, est né de l’observation première menée par Catherine Teiger en équipe avec deux autres ergonomes (Jacques Duraffourg et Antoine Laville). Cela paraît simple – de la simplicité dont les ignorants et les dépités se moquent – et cela changea tout : le taylorisme forcené (organisation scientifique du travail) vola en éclats.

 

Catherine Teiger a bien voulu nous présenter – maintenant que quarante ans ont passé – les images historiques de ce coup d’éclat ergonomique.

Personne ne peut parler de souffrance au travail sans se positionner par rapport aux données fondamentales exposées dans Bien-être et Efficience au travail.

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16 avril 2011 6 16 /04 /avril /2011 12:00

 

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Lettropolis publie l'HISTOIRE DE FRANCE de JACQUES BAINVILLE

 

Ce grand texte du domaine public (téléchargeable gratuitement) méritait une réédition propre, augmentée d'intertitres et de liens internes pour l'adapter aux habitudes modernes de lecture.

 

Les intertitres rajoutés l'ont été dans l'esprit du texte original. Cet ajout a le double avantage de la modernité, mais également celui de créer une table des matières de quinze pages, panorama de l'histoire de France, servant déjà à remémoriser une chronologie qui n'est plus enseignée.

 

Je publie sur le blog de Lettropolis un long article détaillant les caractéristiques du texte de Bainville avec les grandes leçons qui s'en dégagent, et qui sont toujours d'actualité (certains ajouteront "malheureusement").

 

Mais le plus simple est de vous rendre sur le Blog de Lettropolis. Et ensuite, bonne lecture et bonnes réflexions.

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10 avril 2011 7 10 /04 /avril /2011 16:26

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Soyez crâne !

 

Mieux encore, soyez une tête littéraire, et suivez-moi au salon de la mort.

 

Ou du moins, vers l'article qui se trouve sur Le Blog de Lettropolis.

 

Maintenant que vous connaissez l'adresse...

 

Bonne visite, bonne réflexion

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13 mars 2011 7 13 /03 /mars /2011 10:29

 



LETTROPOLIS publie Les Annales 2010 de l’ORT.  Ce texte relate les interventions du séminaire tenu en septembre 2010, par l’association ORT (Observatoire et Rencontres du Travail) qui développe un outil spécifique : les GRT (Groupes de Rencontres du Travail) dans le cadre de la pensée ergologique.

 

Ce texte est profondément vivant, car il relate les interventions, les débats, les questionnements qui accompagnent ce moment fondamental où de nouveaux horizons se découvrent, après de longues années de prépararation.

 

Retrouvez un exposé plus complet sur Le Blog de Lettropolis. Ce texte mérite d’être connu pour mieux comprendre la portée de cette démarche.


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  • Pierre-François GHISONI
  • la littérature en partage
L'homme avant les termites
L'idéal sans l'idéologie
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