PARLONS ENCORE DES TABLETTES, ENCORE ET MIEUX

L’intérêt d’un blog, c’est de stimuler les commentaires, et donc les dialogues, en vertu des principes fondamentaux de l’information; parmi lesquels, la transmission, la réception, la confirmation, et la réponse.

Donc, à la suite de mon article intitulé Lire sur des tablettes

http://www.lettropolis.fr/Blog/2011/01/07/484/

mon correspondant Clodoald m’expose la difficulté de certains septuagénaires à pénétrer le monde de l’informatique. En particulier il glose sur notre explication d’un écran de 15 pouces, ne sachant pas de quelle dimension il s’agit.

Je fais gentiment remarquer qu’il suffit de lire entièrement ma phrase, que je reprends ici : « Un écran suffisamment grand pour un confort des yeux. La taille de 15 pouces (15’’) nous paraît un minimum car elle se rapproche du format A4 (21cm x 29,7cm) ».

N’est-ce pas suffisamment clair ? Ne suffit-il pas de demander à tout vendeur un écran faisant environ 21cm x 29,7 cm) ? Lorsque nous parlons de confort des yeux, nous mettons l’accent sur une donnée personnelle établie à partir de nombreuses observations. S’agit-il vraiment encore d’informatique ?

Lettropolis est riche d’informations. Osons même dire que Lettropolis, est, à ma connaissance, le seul site de lecture qui explique, non seulement pourquoi lire, mais aussi, comment lire sur un ordinateur.

Précisons même que Lettropolis se propose d’enrichir encore cette information par des données ergonomiques reconnues. Par exemple : savez-vous que le bord supérieur de votre écran ne doit pas être placé plus haut que vos yeux ?

Il ne s’agit pas d’ingéniérie informatique, mais de résultats d’études médicales précises. Ici, la tablette numérique marque un point par rapport à l’ordinateur, par le seul fait qu’on imagine mal la tenir à bout de bras levés au-dessus de la tête, alors que tant d’écrans sont installés n’importe comment.

Oui, Lettropolis a encore beaucoup de choses à dire en ces domaines, et nos lecteurs ont encore beaucoup de choses à lire. Heureusement, car c’est ainsi que nous avancerons.